RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé)

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AUDET-HARTLEY, Rafael Christian
IL A VINGT-HUIT ANS | IL VIT AU BISON VOLANT | IL RESSEMBLE À HENRY CAVILL | C'EST UN EX-LIEUTENANT DES FORCES AÉRIENNES CANADIENNES, MAINTENANT HOMME D'AFFAIRE DANS L'ENTREPRISE FAMILIALE |
IL EST À LA FOIS ANGLAIS & CANADIEN
IL SOUHAITE - ET PAS, EN MÊME TEMPS - PASSER OUTRE LES FLASHS DE CE PUTAIN DE CRASH EN IRAK & CE QUI A SUIVI

IMG@tumblr › ICONS@CREDIT

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Carte d'identité
๑ Prénom: Rafael
๑ Nom: Audet de par mon père, Hartley de ma mère. L'histoire un peu eau de rose que la jolie anglaise, en échange étudiant à l'université McGill, rencontre un jeune homme particulièrement ambitieux et mystérieux. Ils tombent amoureux, ont deux enfants puis divorcent parce que madame a trouvé refuge dans les bras de son entraîneur privé de vingt cinq ans et lui auprès d'une adorable secrétaire à peine majeure aux States. Fin de l'histoire.
๑ Date et lieu de naissance: Vingt-cinq décembre, Londres, Angleterre. On avoue que ça a la grande classe d'être né le même jour que Jésus, sauf que ça craint quand on se rappelle que ça ne fait qu'une fête par an où l'on reçoit des cadeaux. Enfin, avec le recul, on se rend compte quand on a une famille aussi cinglée que la sienne que c'est mieux de se croiser une fois l'an tous ensemble que deux!
๑ Nationalité: Double, étant né en terre anglaise - les origines de ma mère - je possède donc la citoyenneté anglaise ainsi que celle canadienne.
๑ Emplois ou étude: Je faisais parti des forces armées canadiennes en tant que lieutenant dans l'Air Force - nettement moins sophistiqué et financé qu'aux États-Unis, on se comprend - mais depuis l'incident d'un crash en territoire ennemi au beau milieu des plaines irakiennes, on me juge inapte à continuer ce boulot qui était ma putain de vie. Je dois donc me résigner à jouer les gros bonnets d'affaire avec mon père qui gère l'immense industrie familiale au coeur de Montréal.
๑ Groupe: J'ai obtenu de ne pas résider dans cette connerie d'immeuble hors de prix qu'avait acheté mon père il y a une décennie, vivant seul dans un appartement - à grand frais encore, c'était la condition pour que je ne fasse pas "honte" aux Audet. C'est donc au bison volant que je réside, pour l'instant.

Dans la tête
๑ Votre résolution:
Malheureusement, il n'y a rien de bien amusant à ce qu'il souhaite accomplir au cours de l'année. Ça n'a absolument rien à voir avec l'époque du secondaire et même de l'université où il rêvait de se taper la sublime remplaçante en chimie ou de jouer un tour à l'emmerdeur de professeur de physique. Ce n'est pas non plus comme son souhait, à quinze ans, que ses parents cessent de s'emmerder autant l'un l'autre en se traitant à travers lui de tous les noms. Ce n'est pas aussi amusant que d'avoir réussi à entraîner Romane dans un vol de nuit au-dessus de la ville, et de finir la nuit dans les draps de satin - drôle de sentiment de s'enrouler là-dedans - en sa compagnie.

Non, en fait, ce qu'il souhaite plus que tout, c'est de retourner voler - il en est incapable depuis plus d'un an, aka son retour d'Irak en fait. Il voudrait trouver la force de se rappeler ce qui s'est passé outre-mer pour enfin faire le deuil de Sean, son ami et co-pilote décédé là-bas suite au crash. Il voudrait retrouver les étoiles qu'il portait sur son uniforme et faire lever l'interdit de retrouver son statut de lieutenant, vaincre sa peur de voler, le voile que son esprit maintient sur ce qu'il a véritablement vu et accompli là-bas pour revenir, miraculeusement - cela faisait treize jours qu'il errait, perdu, en territoire ennemi - en vie. C'est donc un travail de taille, il faut en convenir (sa mère étant psychologue, la moindre mention de cette profession lui hérisse les poils des bras), car outre le psy de l'armée avec qui il a échangé quelques mots, ça a été silence radio...

Dans la tête
๑ remember me:
03h48 AM. Toujours la même heure, toujours la même tête, le corps en nage, les yeux exorbités par la peur et la tension qui met en boule chaque muscle de mon corps. Mes poings sont crispés, et je me redresse, droit comme un i, dans mon lit. J'ai chaud, tellement chaud. J'ai les mains qui se décrispent lentement, viennent ensuite balayées mon visage de la sueur qui perle sur ma tempe ou me tombe dans les yeux. Toujours la même heure. Toujours le même sentiment dégueulasse qui enserre mes tripes. Toujours l'impression qu'on me met un flingue sur la tempe, qu'on me hurle des trucs dans une langue que je ne comprends pas, et que mes genoux ne supportent plus rien, à vif, à force d'être appuyés sur eux des heures durant. Le psychologue de la base, au retour, m'a dit d'essayer de me rappeler des détails, de voir des images plutôt que de simplement ressentir ces sensations horribles. J'ai déjà l'envie de crever les yeux fermés, quand tout ce que je vois, c'est le néant, il se fout le doigt dans l'oeil jusqu'au coude s'il croit que je vais mettre un visage sur ce ressenti dégueulasse qui me revient pratiquement toutes les nuits. En fait, chaque nuit où je suis seul et endormi, ça me revient inlassablement. Quelle connerie, le subconscient. Je me lève péniblement, difficulté à allonger les jambes, quitte le lit, la chambre, et me retrouve sur le balcon, à mater droit devant. Un joint pincé entre les lèvres, ils disent que c'est médical. Marrant, c'est le gosse du kiosque de journaux qui me trouve le meilleur pourtant. Il pleut. Je m'en fiche, ça me fait même plaisir. L'eau est tiède, glissant sur mon corps, me délestant de la sueur et de l'anxiété. J'ai jamais été anxieux. J'ai jamais eu peur de quoi que ce soit, et j'ai jamais eu à craindre mes propres souvenirs. À croire que tout change, au final, même quand on voudrait résolument être le même qu'avant...

« Je suis ailleurs ». La secrétaire reste stoïque, faut croire que je ne suis pas assez clair « Dites-lui de rappeler plus tard, que je suis aux chiottes pourquoi pas? ». Je sais que c'est con, voire même enfantin d'agir comme ça. Je supporte pas de faire mine que tout va bien la plupart du temps, mais quand c'est question de Romane, ça me rend tout simplement malade. Elle rougit, puis marmonne un "Bien, monsieur Audet" avant de tourner les talons et retourner à son bureau, un peu plus loin, à la fin du couloir. Je prends ma tête entre mes mains, mes coudes sur le bureau, et reste comme ça quelques minutes. Je serais resté comme ça indéfiniment, en fait, mais le téléphone sonne. C'est mon père. Il est sur un gros coup, une bonne affaire qui pourrait engranger des millions de dollars pour la compagnie. Si seulement il savait combien l'argent ne sert à rien contre la fatalité, mon père, il déchanterait bien vite. Non, lui, sa seule raison de vivre, d'exister, c'est de faire du fric. Encore du fric. Encore plus de fric. Avec ce qu'il a d'amasser, il aurait plus jamais à travailler s'il le voulait bien, mais il en veut plus. Toujours plus. C'est déprimant « Très bien père, je m'en occupe. Comment elle s'appelle déjà, cette poule aux oeufs d'or? ». Je souris en l'entendant jurer à l'autre bout du fil. Il n'a clairement pas le sens de l'humour, Philippe Audet Jr. Il me le répète donc, non sans soupirer en se plaignant une énième fois de mon manque de sérieux dans mon rôle clé au sein de la compagnie. Je suis du sang neuf, à même celui du PDG, charmant, charmeur, ayant une histoire touchante et des ambitions patriotiques. Il joue le publiciste en sortant la carte de la compassion avec certains pour sceller un deal. Il est pas croyable, un véritable loup. Il me fait horreur et me fascine en même temps, parfois. Il ressemble à certains généraux qu'on a pu côtoyer, au cours des camps d'entraînements...

« Charlotte Sinclair ». Mes traits se décomposent. Je savais bien que ce nom me disait quelque chose, même si je ne pouvais pas mettre le doigt dessus. Sinclair. Si elle avait porté le nom de son mari, elle s’appellerait Charlotte Pearson. Sean Pearson. Elle est veuve. Dans ses bras, elle tient Guillaume, leur fils. Il est orphelin de père. Elle est veuve. Elle a perdu son mari, et moi, je suis toujours là, affublé d'un sourire qui s'affadit rapidement. Il m'avait dit que la famille de sa femme était riche, mais si elle intéresse mon père à ce point, je n'ose pas imaginer quel fond elle possède... non, mais merde! Je suis con. Je l'ai vu aux funérailles militaires de Sean, et je lui ai même offert mes condoléances. On ne s'était jamais rencontrés auparavant. Elle s'était effondrée dans mes bras, me demandant de lui lâcher un coup de fil un de ces quatre. Elle voulait savoir, elle voulait que je lui dise... et je pouvais pas, lâche que j'étais, lâche que je suis. Je pouvais pas parler de ça, de là-bas, je n'avais que des flashs, des sentiments étranges, des drôles de sensations dans mes tripes. Je ne l'avais jamais appeler, et pourtant, la voilà devant moi « Monsieur Audet, quelle agréable surprise! ». À son air, je me doute que madame Sinclair n'a pas appelé à l'investisseur au hasard, et à ma tête, j'ai l'impression de m'être fait baiser. À l'envers.

Il possède un franc parler désarmant pour les non-initiés ๑ Il parle quatre langues, soit le français, l'anglais, l'espagnol et le russe ๑ Il pratiquait le football durant sa scolarité à McGill, entre ses entraînements militaires et les camps de formation ๑ Il a une collection de modèles réduits d'avions qu'il faisait avec son père plus jeune ๑ Il est limite sociopathe depuis l'incident, triant sur le volet ses relations ๑ Il a toujours été amoureux de Romane, ça, il le sait, mais ne se rappelle pas le lui avoir avoué ๑ Il aime les films d'actions ๑ Il a déjà conduit une NASCAR par simple caprice, les bons côtés d'avoir un papa influent et très riche ๑ Il n'aime pas les filles faciles, au contraire, ce sont celles qui lui apposent de la résistance qui l'allument le plus ๑ Il n'est pas matérialiste, au contraire, c'est dans un petit casse-croûte où les déjeuners se vendent cinq balles qu'il descend chaque matin à 6h30 précise ๑ Il aime la discipline, ne vit que par sa capacité à tout contrôler ๑ Il a reçu une prescription de tétrahydrocannabinol (THC) au retour, en consomme sans modération à la dérobée ๑ Ne boit que du vin rouge et du whisky ๑ Aime rire et est doté d'un humour étrange, un peu noir d'ailleurs.

Citation :: pseudo/prénom marie-chantale › âge vingt et un ans › avatar henry cavill › présence sur le forum cinq sur sept les cocos › un petit commentaire? je vous n'aimes, montréal, c'est pas loin de chez moi graouuu

Dernière édition par Rafael Audet-Hartley le Mer 5 Sep - 20:44, édité 12 fois

Bonjour, henri
La pédophilie tu connais ? ( bienvenue je te réserve l'avatar une semaine )

FANNING

RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 2774444739

Reviens dans quelques années, je t'ouvrirai les bras volontiers!

Merci pour la réservation !

Parce que je viens marquer mon territoire en pissant dans ta fiche, comme les chiens. RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 349851736

T'es parfaite. RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 1585419954

Salut, t'es plutôt canon toi Bienvenue par ici

ROMANE; oh, chérie, t'es pas à la veille de posséder mon postérieur entièrement, tu sais comment j'adooore te faire courir RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 1585419954

Bo, je te renvois le compliment, c'est loin d'être désagréable à mater RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 2492184400

Merci

Je sais, mais tu sais très bien que je finis toujours par l'obtenir. RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 1473895523

Wess, on a le même prénom, vas-y j'veux un lien (surtout Calvill)

OUAIS BAH, C'ÉTAIT MEANT TO BE ON DIRAIT RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 3564198677

Tout clair qu'on sera pote, puis j'adore Evan il a la classe!

Romane, trop tôt pour crier victoire mon petit... RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 1881463262

RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 1881463262

Caviiiiiiillll hshdùlkqjdkqjdkljqjdqs (c'est la bave qui appuie sur les touches de mon clavier RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 309181304

RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 309181304

)
Bienvenue. RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 3618142356

AWWWWWWWWW que ça me fait plaisir des bienvenutages comme celui-là,
Merci bellisima blonde RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 2774444739

Au fait, j'ai terminé ma fiche les loulous! RAF ▬ you know my name, not my story. fuck off. (terminé) 1585419954

il me semblait bien, j'étais entrain de terminé ma lecture et je me suis dis, bah il a fini. J'ai actualisé, lu les dernier point et maintenant je te VALIDE ! N'oublies pas d'aller chercher un appartement et d'envoyer ta résolution à Karma !

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