Léonie Bourgeois
๑ CREDITS : (avatar) @ ashesdust + (signature) @ en cours. ๑ HUMEUR : Boudeuse. ๑ AVATAR : Liza Serpova. ๑ MESSAGE : 111 ๑ INSCRIPTION : 15/08/2012 ๑bonne résolution๑๑ réussite de résolution: (0/0)๑ mes contacts iphone: ๑ mes résolutions pour cette année: | Sujet: (M) PATTINSON-STURRIDGE-HEDLUND/LIBRE ๑ an awesome wave Mar 4 Sep - 20:45 | |
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------------------------------------------------------------ Carte d'identitée๑ Prénom: Louis ๑ Nom: Au choix, mais français ๑ Date et lieu de naissance: Paris, date au choix ๑ Nationalité: Française ๑ Emplois ou étude: Etudiant en arts, ou peu importe tant que c'est lié à l'art (le dessin et la peinture plus particulièrement) ๑ Groupe: Au choix Raconte-moi une histoireLouis c'est un gosse de riche, né avec une maxi cuillère en argent dans le gosier, choyé par ses parents depuis tout petit. Il fait vraiment partie de l'élite parisienne, accumulant les rallyes (repas entre enfants de la jeunesse dorée de la Haute organisées par les mères) dans le but de se trouver une future femme digne de sa famille (c'est sa mère qui le souhaite). Il a d'ailleurs participé au bal des débutantes à l'hôtel Crillon. Bref, le type intouchable. Seulement lui il n'a jamais vraiment été attiré par tout ce qui brille, il n'a jamais renié sa famille, au contraire il a beaucoup de reconnaissance pour ses parents qui ont développé chez lui un réel sens artistique. Il veut dessiner, peindre ... Ses parents ne s'y sont jamais opposé, allez savoir pourquoi. Ils veulent juste qu'il se trouve une femme riche, brillante et sublime. - Citation :
- La soirée continua jusqu’à pas d’heure. Elle apprit que Louis venait d’une famille bourgoise, des plus françaises. Il était actuellement en fac d’histoire de l’art, passioné d’art il adorait arpenter les galeries, les musées, avec un vrai faible pour Beaubourg. Pas trop sûr de ce qu’il voulait faire de sa vie, il savait que quoi qu’il arrive il aurait un soutien financier des plus confortables. Selon elle, il avait une vie de rêve, fils unique il pouvait obtenir tout ce qu’il voulait en un claquement de doigt.
Rentre à la maisonBon déjà, je suis désolée, je sais que l’histoire est longue et que ça peut en rebuter plus d’un. MAIS PAS DE PANIQUE, au pire, “en bref” peut être suffisant pour faire votre fiche, vous pourrez vous plonger plus longuement dans leur anecdote après, pendant, avant, en fait, comme vous le sentez ! Ce qui est en spoiler n'est pas indispensable, ça éclaire vraiment bien leur rencontre, la folie mensongère de Léo, lui qui s'éprend tout de suite d'elle. C'est important, mais pas urgent.
- EN BREF -
→ Ils ont commencé à se parler dans un café parisien dans le Marrais (La Perle), elle était toute seule au comtoir quand il la reconnut. C’était cette fille qu’il ne cessait d’observer du coin de l’oeil quand il se rendait à Beaubourg (son musée favori), elle s’occupait d’archiver, trier et ranger les livres de la grande bibliothèque. Il n’arrivait pas à se la sortir de la tête, alors quand il l’a vu, seule, visiblement prise d’un ennui profond, il s’est approché d'elle. Il a tout de suite été séduit par son accent québécois, sa maladresse, sa beauté discrète. Elle aussi est facilement tombé aux pieds du beau Louis. Ils sont sortis ensemble pendant deux ans. Seulement, ce que Louis ignore c'est que Léo a menti du début à la fin sur sa vie. Elle n'est pas fille d'un riche industriel automobile, sa mère ne s'occupe d'aucune association caritative et ne veut pas qu'elle se trouve un gendre aussi parfaite que sa fille. Léonie a une vie pourrit, elle a honte de ses parents, de son accent, de tout. Elle lui a délibérément menti ne se sentent pas du tout assez bien pour Louis. Au bout de presque deux ans, il veut rencontrer les parents de sa belle, mais elle trouve à chaque fois un prétexte pour que ça ne se fasse pas. Il s'énerve, le prend pour lui, et décide de mettre fin à leur relation. Elle repart pour Montréal en lui laissant un sms d'adieu. (voir plus bas). Seulement Louis regrette terriblement sa décision, est vient d'atterrir à Montréal pour avoir une discussion avec elle. ---------------------- Un vendredi soir de Décembre, 2010, café La Perle, Marrais (Louis accoste Léonie -ils ont alors vingt ans-, ils accrochent très rapidement. Quand elle commence à comprendre que le monde dans lequel Louis a grandi est bien trop différent du sien, elle se met à mentir sans relâche sur sa propre vie. Elle s'invente une pseudo vie de rêve, un père bourré de fric, une mère accroc aux oeuvres caritatives ... Rien n'est trop beau. Il mord à l'hameçon sans problème.)- Spoiler:
Léonie était affalée sur le comtoir, son coude lamentablement posé retenait sa tête qui commençait à se faire plutôt lourde. Clémentime, l’amie avec qui elle était venue, l’avait lâchée pour un type qui lui avait proposé de la ramener chez lui. C'est alors que Louis s’est approché d’elle. Dès que son visage lui est apparu un peu plus clairement, elle eut comme une impression de déjà-vu, toutefois impossible de mettre un prénom sur son visage, pourtant sa tête était bien encrée dans son cerveau, aucun doute. Il avait ce genre de sourire ultra bright, un type qui faisait attention à son apparence sans passer pour un metrosexuel non plus, avec cet air confiant et sympathique qui ne laisse pas les filles indiférentes pour sûr. C’est lui qui entama la discussion. « Excuse moi, tu ne travaillerais pas à Beaubourg ? » Un peu confuse elle n’avait rien trouvé à dire pendant quelques longues secondes, elle s’était seulement redressée à la vitesse de la lumière essayant tant bien que mal d’adopter une position un peu plus classe et élégante persuadée qu’une fille presque bourrée et avachie sur un comptoir ne devait pas être très séduisante. Silencieusement elle observa, avant de se souvenir. Elle l’avait vu plusieurs fois au centre Pompidou, il venait aux heures de midi, toujours seul avec son allure d’artiste dandy et son grand carton à dessin sous le bras. Il était assez impressionant, un charme discret mais certain, simple et compliqué à la fois. Toujours un peu troublée par l’approche de cet erstaz de mannequin abercrombie, elle essaya d’articuler quelques mots. « Hm .. Oui … Oui en effet c’est bien moi. » Il voulait certainement qu’elle lui dégote un stage au sein du musée, encore un étudiant en arts prêt à tout pour atteindre son but. Ou quelque chose dans le genre. « Faut pas me prendre pour un gros pervers qui espionne à longueur de journée les jolies filles surtout ! » « Pas de soucis, j’en connais un rayon côté pervers et t’as pas vraiment l’air d’en être un. » Elle avait envie de se frapper la tête contre un mur, de se couper la langue ou de s’assomer avec le premier objet qui pouvait lui passer entre les mains. Pourquoi est-ce qu'elle avait dit ça ? Ca faisait grosse nymphomane qui avait vu passer tout le continent dans son lit. Seulement ça n’avait pas l’air de le déranger, il esquissa un sourire sincère. « Québéquoise ? » Putain d’accent de merde. « Oui … » Il fit signe à un des barmen et commanda deux mojitos. « J’aime bien ton accent. » Super tactique de drague, seulement c’était un des choses qu'elle détestait le plus chez elle. Elle n'avait pas envie de tourner autour du pot et ses grands airs de séducteurs invetérés pour arriver à ses fins commençaient à lui taper sur le système. « Le mojito, c’est gentil, mais pas nécessaire. Je suppose que tu veux un stage, un job, peu importe, alors file moi ton nom, ton numéro, et je le passerai au chef. Il te trouvera bien quelque chose à faire. » Elle était prête à partir un peu exaspérée par ce genre de gars, bien que vraiment très très séduisant mais il la rattrapa par le bras. « Nan attends, c’est pas du tout pour ça. » Etonnée – dans le bon sens du terme – elle se rassit. « Si c’est par pour ça c’est pour …? » Il se passa un main dans les cheveux, lui qui avait l’air si décontracté et sûr de lui jusqu’à maintenant se tendit quelque peu. « J’arrête pas de t’observer … Et merde ! Ca fait encore gros pervers psychopathe, tu as le droit de fuir maintenant si je te fais peur, je le prendrai pas mal ahah … » Elle ne put s’empêcher de rire. Elle aimait bien les garçons avec de l’humour, femme qui rit, femme à moitié dans son lit … « T’inquiète pas, il m’en faudrait un peu plus pour décamper. » « Tant mieux alors. » Le barman nous apporta les deux coktails, il m’en poussa doucement un vers moi. « Par contre si tu essayes de me saouler peut être que là je vais commencer à flipper … » Son visage se rédit à l’instant. J’avais toujours eu un humour des plus douteux. « Je rigole. Bref, tu disais que tu m’observais et … » Il commença à se décontracter et repris. « Je sais pas, tu m’as tout de suite… intrigué. J’aime bien te voir ranger tous les bouquins du musée, t’as l’air si concentrée et si détachée à la fois. » Heureusement qu’il faisait plutôt sombre à l’intérieur du bar, mes joues rougissaient terriblement. « Waw, on dirait presque une déclaration d’amour. » Il remua la paille dans son verre, laissant la discussion en suspend quelques instants puis repris. « C’en est peut être une. »
La soirée continua jusqu’à pas d’heure. Elle apprit que Louis venait d’une famille bourgoise, des plus françaises. Il était actuellement en fac d’histoire de l’art, passioné d’art il adorait arpenter les galeries, les musées, avec un vrai faible pour Beaubourg. Pas trop sûr de ce qu’il voulait faire de sa vie, il savait que quoi qu’il arrive il aurait un soutien financier des plus confortables. Selon elle, il avait une vie de rêve, fils unique il pouvait obtenir tout ce qu’il voulait en un claquement de doigt. Après quelques verres de trop il en vint à une confession assez surprenante. Si il pouvait vivre sa vie comme il l’entendait, sa mère l’inscrivait souvent à des rallyes pour qu’il trouve la femme de sa vie. Elle ne voulait pas d’une belle-fille d’une classe inférieure. Louis avait d’ailleurs déjà participé au bal des débutantes à l’hotel Crillon. Il ne choisirait pas d’épouser la femme qu’il aime, à moins qu’elle soit riche, intelligente et magnifiquement magnifique. « Assez parlé de moi, parlons un peu de toi. » Elle descendit d’une seule traite un shooter de tequilla et manquait de s’étrangler. Un frisson parcoura tout son corps, elle était à des kilomètres de la femme idéale, selon les critères de sa génitrice. Seulement voilà, elle ne voulait pas qu’il décampe dès qu'elle lui raconterait la nullité de sa vie à Montréal. Ses parents complètements bêtes bien que très gentils, son père est un de ces gros pecno/beaufs qui collectionne les miniatures de voitures de course, qui adore se prélasser devant un match de hockey en compagnie d’une douzaine de bières – les plus amères possibles – tout en étalant sa bedaine qui vient à peine d’exploser deux boutons de sa chemise de bucheron (qu’il porte fièrement depuis une vingtaine d’années) et sa mère, l’archetype même de la bonne femme au foyer de la banlieue de New-York qui ne sait rien faire d’autre que cuisiner des apple pie. L’un garagiste, l’autre caissière, sans aucune ambition … Ou encore ses anciens petits-amis avec un QI frôlant les 0, son refus de tenter ne serait-ce qu’une université de l’Ivy League découragée par le manque de soutient de mes parents … Face à lui elle n'était rien. Alors s'est mise à mentir, à déverser un flot continu de mensonges plus tordus les un que les autres. Plusieurs fois elle voulut s'arrêter, ne pas en rajouter une couche, mais elle était prise au piège. « Et bien mes parents, ou plutôt mon père, est à la tête d’une multinationale dans l’automobile, qui fait énormément de concurence à General Motors. Il n’est pas souvent à la maison, toujours en déplacement mais je l’adore, on est très complices. Ma mère aurait pu être femme au foyer avec tout l’argent que mon père ramène, mais elle n’a jamais accepté d’être qu’une mère et une épouse, elle a fondé une association pour aider les orphelins en Afrique. » Voilà qu'elle se mettait à faire dans le social en plus de ça. « Elle est un peu comme ta mère d’ailleurs, elle ne souhaite qu’une chose, que je trouve à homme digne de mon soit disant haut rang. Elle m’a envoyée à Paris pour faire en sorte que je me dégote un mec sorti d’une grande école … » Il l'interrompit dans sa grande tirade grotesque. « Elle a bien voulu que tu sois archiviste ? Ca ne paye pas des mille et des cents pourtant … » Il semblait gober tout ce qu'elle lui disait sans problème, alors elle en rajoutait toujours un peu plus. « Et bien … Mon seul bute depuis toute petite c’est d’atteindre une université de l’Ivy League, j’ai été admise à Columbia et à Darthmouth. J’ai choisi Darthmouth immédiatement. Mais j’ai été obligée de m’arrêter pendant ma deuxième année pour mon voyage à Paris. Je n’ai toujours pas bien compris pourquoi ma mère a tant insisté pour ça … J’ai accepté sous réserve de me trouver le travail de mon choix. J’ai toujours adoré les musées et les bilbiothèques, archiviste c’était un peu l’idéal. Et puis je suis assez loin de ce monde de paillettes dans lequel baigne mes parents. Je vis plus … simplement. » La soirée continua son cours, mensonge après mensonge. Elle était plutôt soulagée quand ils en vinrent à parler d'autre chose que de sa vie.Elle était bien plus naturelle, bien plus sincère. Quand le bar ferma ses portes, Louis la racompagna jusqu’à chez elle. « J’aimerais vraiment te revoir Léonie. » Elle avait tête qui tournait après tous les verres qu’ils avaient ingurgités et par l’effort constant de mentir sur sa vie. Elle voulait le revoir, évidemment, mais se sentait vraiment honteuse, faible. « Oui ce serait …. Génial. » Il s’approcha et déposa un baiser sur ses lèvres. Elle resta congelée de bonheur, oubliant tous les bobards qu'elle avait bien pu lui sortir. De toute manière il n’y avait pas de raison qu’il sâche la vérité, ce n’est pas comme si il allait lui demander de l’épouser dans les 24h.
Ils se revirent, encore et encore. C’était un peu la relation qu'elle n'avait jamais eu mais qu'elle avait toujours espéré. Tout était facile avec Louis, pas de prise de tête, juste la vie au jour le jour. C’était comme si ils se connaissaient depuis toujours. Seulement sa vie en rose commença à se noircir quand il émit la volonté de rencontrer ses parents. « Tu crois pas que ce serait bien ? Ca fait plus d’un an qu’on est ensemble et je ne l’ai ai pas vu une seule fois. » Merde, merde, merde et remerde. « Tu sais … mon père est vraiment très occupé, il n’est jamais à Montréal … Et ma mère le suit pas mal dans ses déplacements ces derniers temps. Je doute qu’on puisse trouver un moment qui convienne à tout le monde. » Louis le lui demanda encore plusieurs fois après ça. Elle se confondait dans des excuses bidon. « Léo, est-ce que tu as honte de moi ? » Mon coeur se pinca. « Non, non, pas du tout ! » Il était vraiment en colère, hors de lui et dans l’incompréhension totale. « Je commence à croire que si ! Peut être que le fait que je sois un soit disant artiste qui ne fait pas grand chose de sa vie n’est pas assez bien pour tes parents ! » Il continua à sortir des absurdités du genre, sa colère ne se calmait pas, Léo ne savait pas quoi dire, quoi faire. Devant ce mutisme insoutenable, il finit par en venir au pire. « Tu sais quoi ? Si ça se trouve toi et moi on a rien à faire ensemble. Toi il te faut un type qui sorte de l’ENA et moi je me contenterais d’une fille d’un rallye trouvée par ma mère. » Il sortit en trombe, claquant violement la porte. Alors ça y est, c’était fini. Les mensonges de Léonie l’avait menait à cette conclusion : elle n’était qu’une pauvre fille. Elle s’effondra en larmes. Quelques jours plus tard elle rentra définitivement au Québec, à Montréal, bien décidée à reprendre sa vie en main et à arrêter ses mensonges. Ce n’est pas sans mal qu’elle quitta Paris et surtout qu’elle admit qu’elle ne reverait plus jamais Louis. Elle lui envoya un dernier sms : - Citation :
- Je suis désolée pour ce que j’ai fait. Je repars à Montréal, Darthmouth m’attend depuis déjà trop longtemps. Je suis sincèrement désolée.
Léo. Elle avait comme bonne résolution de ne plus renier sa famille, d’accepter ce qu’elle était. Et aussi de reprendre confiance en elle. Elle postulerait pour une des universités de l’Ivy League pour la rentrée prochaine et tenterait d’oublier Louis au plus vite.
Ce qu’elle ne sait pas c’est que Louis vient d’attéririr sur le sol américain, il vient de quitter sa famille, ses études, sa vie de parisien accompli pour la rejoindre. Il veut comprendre, prouver aux parents de Léonie qu’il est digne d’elle. Seulement, il ne sait toujours pas la vérité. Et puis il ne reconnaitra pas si facilement avoir eu tort. |
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Léonie Bourgeois
๑ CREDITS : (avatar) @ ashesdust + (signature) @ en cours. ๑ HUMEUR : Boudeuse. ๑ AVATAR : Liza Serpova. ๑ MESSAGE : 111 ๑ INSCRIPTION : 15/08/2012 ๑bonne résolution๑๑ réussite de résolution: (0/0)๑ mes contacts iphone: ๑ mes résolutions pour cette année: | Sujet: Re: (M) PATTINSON-STURRIDGE-HEDLUND/LIBRE ๑ an awesome wave Mar 4 Sep - 22:08 | |
| - Citation :
Tout d'abord merci aux gens qui prendront de lire totalement et même partiellement le scénario. Ce n'est pas l'histoire, la relation du siècle, mais je pense que ça peut être sympa à jouer. Je ne demande rien de particulier, vous connecter plutôt souvent même si vous ne RP pas forcément ! Quelqu'un qui saura faire évoluer le personnage en dehors de sa relation avec Léonie - bien qu'il ne soit censé connaître personne à Montréal -. Si j'ai écrit un pavé pour leur relation, je ne le fais que très très rarement en RP. Je me contente très bien d'une quinzaine de lignes, le but c'est que l'histoire avance. Pour l'orthographe, tout le monde fait des fautes, tant que c'est pas un truc énormissime, je passe au dessus, j'en fais pas mal moi même, j'ai très souvent la flemme de me relire (bon quand il y a quinze lignes, je le fais je vous rassure).
Pour l'avatar, je n'ai pas trop d'idée, et surtout je ne veux pas l'imposer. Je voyais bien Garrett Hedlund, Robert Pattinson ou Tom Sturridge, mais tant que le gars fait un peu intello/artiste, ça me convient.
Voili, voilà, encore merci pour votre lecture. |
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